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Rédiger un livre blanc de qualité : 3 conseils et 5 pièges à éviter
Comment rédiger un livre blanc de qualité ? la question peut paraître anodine mais elle est loin d’être simple. Pour y répondre du mieux possible, nous avons joint nos forces à celles de Jérôme Delacroix afin de proposer 3 critères de succès pour un livre blanc efficace, de nature à générer des leads et 5 pièges à éviter à tout prix pour rédiger un livre blanc de qualité. Ce billet a été publié originellement en 2013. Nous en avons regroupé les 2 parties dans cette version revue et corrigée, dont les conseils et astuces nous paraissent plus que jamais d’actualité.
Rédiger un livre blanc de qualité : 3 conseils et 5 pièges à éviter
3 conseils pour garantir la qualité de votre futur livre blanc
Cette partie a été écrite par Jérôme Delacroix, avec qui nous avons écrit de nombreux livres blancs. Rappelons à ce sujet que nos références clients sont disponibles en ligne.
Nos nombreuses années passées à écrire des livres blancs nous ont inculqué une certitude : le livre blanc est un élément clé d’une démarche de marketing de contenu (branded content) en B2B. Les taux de téléchargement et de lecture de nos ouvrages (ex. : plus de 30 000 vues pour Social CRM, vers la relation client augmentée) et les échos informels que nous pouvons recevoir, confirment cette certitude.
Dans ce billet, nous allons prendre un peu de recul pour nous demander ce qui fait la qualité d’un livre blanc.
Sans doute n’y a t-il pas une seule façon de rédiger un ouvrage efficace. Mais j’ai acquis une conviction : nos livres blancs rencontrent leurs cibles parce qu’il s’agit de vrais livres, avec tout l’aspect qualitatif que cela comporte.
Conseil n°1 : le livre blanc, des histoires vraies
Nos livres blancs reposent tous sur des retours d’expérience de professionnels (une dizaine au minimum). C’est ce qui les rend vivants. Les contributeurs que nous rencontrons dans les entreprises aiment raconter leurs histoires p rofessionnelles. Ce plaisir qu’ils ont à témoigner de leurs projets et de leurs analyses se ressent et touche le lecteur. Il est communicatif car, de l’autre côté, les destinataires du livre blanc (c’est-à-dire, in fine, les cibles marketing de l’ouvrage) aiment lire des histoires. Les lecteurs se projettent dans les témoignages qu’ils lisent, se retrouvent dans les interrogations des contributeurs et dans les réponses qu’ils ont trouvées, en tirent leurs propres enseignements. Quoi de plus normal ? Nous aimons tous lire des histoires.
Toutefois, cela ne suffit pas. Un bon livre blanc ne saurait être la juxtaposition de témoignages. Nous dénonçons ainsi le mythe du livre blanc collaboratif : ce n’est pas parce que les contributeurs apportent le cœur de la matière de l’ouvrage que l’on doit s’imaginer que ce sont eux qui font tout le travail. Encore faut-il que les témoignages soient mis en contexte, se répondent les uns aux autres, éclairent différentes facettes d’un problème. C’est la dimension pédagogique du livre blanc.
Conseil n°2 : le livre blanc, une approche pédagogique
Un livre blanc doit permettre à un lecteur de prendre une décision : cette technologie peut-elle me rendre service, dans mon contexte particulier ? Comment aborder tel ou tel aspect de la gouvernance de mon entreprise ? C’est pourquoi nous préconisons qu’un livre blanc cherche à donner une vision à 360° d’une question. L’ouvrage doit être « problématisé » [NDLR: barba...