Paris Sportifs - Maxence Rigottier - Podcast
[Interview de Benoit] Pourquoi l'ex-coteur de France Pari Sportif fait des paris long terme et a décidé de rejoindre le Club Privé Paris Sportifs ?
L'interview au format audio ci-dessus :
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Maxence Rigottier : Bonjour à tous, ici Maxence Rigottier, du blog gagnerdelargentgraceauxparissportifs.fr. Aujourd’hui, je suis avec Benoit, qui est un ex-salarié de France Pari Sportif. Il est également membre du club privé Paris sportifs. Au cours de cette interview, on va voir un petit peu comment se déroule une journée-type chez un bookmaker, comment ça lui est venu à l’idée de travailler chez un bookmaker, et plein d’autres choses. Tout d’abord, je vais laisser Benoit se présenter pour qu’il nous explique un petit peu ses débuts dans les paris sportifs jusqu’à aujourd’hui. Salut Benoit !
Benoit : Salut Maxence ! Oui, je vais me présenter au groupe. Donc moi c’est Benoit, comme tu l’as dit, j’ai travaillé à France Pari Sportif pendant deux ans et demi. J’ai 34 ans et je fais des paris sportifs depuis que j’ai 18 ans, donc ça fait quand même un petit moment ! On va dire que j’ai roulé ma bosse pas mal là-dedans, donc aujourd’hui, je connais quand même pas mal de choses…
Maxence Rigottier : Comment t’es venue l’idée de travailler chez un bookmaker ?
Benoit : A la base, les paris sportifs, c’est une passion. Donc c’était un peu un rêve de travailler chez un bookmaker, de l’autre côté de la barrière, de savoir vraiment ce qui se passe. Parce que quand tu fais des recherches sur Internet, tu ne trouves pas grand-chose : c’est un monde un peu, euh… il y a comme une chape de plomb là-dessus !
Maxence Rigottier : Exactement !
Benoit : Je vis à Brest, où la société France Pari Sportif s’est créée il y a trois ans. Et donc j’ai vu une annonce sur le journal, comme quoi il y avait une société qui se créait et qui cherchait du monde. J’ai fait un CV, j’ai raconté que je faisais des paris sportifs depuis longtemps, j’ai eu un entretien, et puis voilà ! Ça s’est bien passé, j’ai été pris –sachant qu’avant, je faisais un métier qui n’avait rien à voir : j’étais instituteur.
Donc j’ai commencé à France Pari Sportif. Au début, il faut savoir que lorsque j’ai commencé, on n’avait pas l’agrément, l’agrément étant un papier de l’Arjel (je crois que tu as déjà dit ce qu’est l’Arjel dans une vidéo : c’est l’Autorité de Régulation des Jeux en Lignes en France, on va dire que c’est un peu le gendarme des paris en France –il y aurait beaucoup de choses à dire aussi sur eux, d’ailleurs). Donc mon boss a réussi à avoir l’agrément, et la société a commencé vraiment il y a deux ans et demi. Donc pendant deux ans et demi, j’ai fait le travail de bookmaker en France.
Maxence Rigottier : Comment se déroule une journée-type ? Vous arrivez le matin, il faut fixer les cotes sur telle ou telle compétition ? Comment ça se passe ?
Benoit : En fait, pour te dire un peu les heures de travail : déjà, tu n’as pas de week-end. Moi, mes jours de repos quand j’ai commencé, c’était le mardi et le mercredi. Parce que le week-end, tu vas être d’accord avec moi, c’est là qu’il y a le plus de sport.
Maxence Rigottier : Exactement.
Benoit : Donc, du travail le samedi et le dimanche. Donc déjà, au niveau familial, c’est quand même des sacrifices. Ensuite, tes heures de travail, ça varie d’une semaine sur l’autre. Nous, on avait trois créneaux quand on a commencé : c’était 8h30-18h, tu avais un autre créneau qui était 12h-20h, et un dernier créneau 15h-23h30. Voilà les créneaux dans lesquels tu pouvais travailler, avec une pause d’une heure à une heure et demie pour manger.
Donc tu arrives le matin. Chez nous, comment ça se passait ?