Librairie du Globe: le podcast des rencontres

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Podcast : Rencontre avec André Markowicz: « Partages » vol.2 (éd. Inculte)

October 26, 2016

Rencontre enregistrée le 12 octobre 2016 à 20h à la Librairie du Globe

La Librairie du Globe était heureuse de vous inviter à la rencontre avec André Markowicz consacrée à "Partages" vol.2.

Après son premier volume paru à l’automne 2015 chez Inculte, André Markowicz continue à explorer son territoire, celui du texte, des identités, de la traduction.
« Lui qui est né d’une mère russe et d’un père français d’origine polonaise, qui […] ne s’est jamais senti ni vraiment russe ni vraiment français. Sa vraie terre au fond, c’est le pays de l’entre-deux. Entre deux langues. Entre deux systèmes de pensée. » (Le Monde)
« Partages navigue ainsi « entre des souvenirs, des établis de traduction, des “dossiers” dépoussiérés, des lectures, des poèmes maison, des histoires juives. Rien n’est bâclé, effleuré ou allusif. On y sent une exigence permanente de conférer de l’épaisseur, du sens et des détails. Sans en avoir l’air, Markowicz livre ses mémoires. Jamais il ne l’aurait fait de manière classique. On apprend et on devient en vivant. » (Libération)

André Markowicz : « Partages II reprend la deuxième année de mes chroniques sur Facebook, écrites entre juillet 2014 et juillet 2015. L’expérience inaugurée en juin 2013 a donc continué, avec une régularité – un texte tous les deux jours, quelles que soient les circonstances – qui, je dois dire, m’étonne un peu moi-même, comme si toutes les lignes de mon travail trouvaient leur expression dans ce lieu que j’appelle « sans-lieu », ce lieu de la banalité la plus normale. Au fil des jours, sans plan préétabli, j’ai tout naturellement suivi le fil de l’actualité générale, depuis la guerre de Gaza jusqu’à la guerre de Daech, avec les luttes sociales à travers toute l’Europe et les progrès des communautarismes – et j’ai suivi le cours de mon travail : le moment où je finissais la traduction de Boris Godounov de Pouchkine et Ombres de Chine, et rencontrais cette maison, toute nouvelle pour moi, « inculte », en publiant, quand ils me venaient, ou quand je pensais qu’ils correspondaient au moment, les poèmes « personnels » ou les traductions de poèmes que je pouvais faire. »